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Ors
La technique de l’or en feuille remonte très loin dans les civilisations, en Europe elle a eu sa place dans des œuvres religieuses du moyen âge et participe abondamment à la décoration. Cette matière métallique souple, aux reflets les plus subtils et qui n’a pas d’égale, a fait l’objet d’un travail de recherche technique avec un professionnel, restaurateur des cadres du musée du Louvre, Pierre Giquel. La mobilité de la lumière sur la matière provoque une lecture constamment renouvelée. L’absence de possibilité de retouches dans sa réalisation oblige une décision sans retour, la méditation ; cette dernière en fait un exercice particulièrement difficile car le doute ne peut exister : avoir foi en soi est impératif. L’or pour moi évoque la notion d’éternité, l’inaltérable et la permanence de l’idée transmise.
Hamel triptyque
1983 - 91 X 80
Hamel triptyque (détails)
Hamel triptyque (détails)
Ségurés
1984 - 20 X 42 cm
Séguret
1984 - 40 X 16 cm
Le malène
1984 - 31 X 20 cm
Javols
1984 - 20 X 31 cm
Coë
1985 - 20 x 21 cm
Estables
1984 - 17 X 12 cm
Vassy
1984 - 30 x 17 cm
Chauillac
1984 - 12 x 17 cm
Combray
1984 - 32 X 17 cm
Pontet
1984 - 20 X 25 cm
Prades
1984 - 22 X 22 cm
Scarlet
1982 - 21 X 26 cm
Angles
1985 - 41 X 32 cm
Anzin
1983 - 12 X 12 cm
Biant
1986 - 20 X 16 cm
Abeau
1986 - 36 x 20 cm
Etude
1982 - 12 X 17 cm
Etude
1982 - 17 x 15 cm
Malène
1985 - 33 X 21 cm
Aquarelle et or
1986 - 8 X 8 cm